Certainement l’huile la plus décriée ces derniers mois tant on la retrouve dans un nombre impressionnant de préparations industrielles.
Elle est, effectivement, beaucoup utilisée par les industriels car son coût de revient est très rentable.
Le problème pour la santé ? Elle est bourrée d’acides gras saturés, ceux favorisant le mauvais cholestérol, déjà consommés en trop grandes quantités par la population.
L’huile de palme n’est pas mauvaise en soi, presque brute, elle est riche en carotène, c’est lorsqu’elle est raffinée qu’elle perd son intérêt.
Elle a, malgré tout, des intérêts certains :
– Elle est solide à température ambiante, c’est cela qui permet de donner l’onctuosité aux aliments. Elle peut aussi remplacer le beurre ou la crème (voire le saindoux) dans certaines préparations, ce qui, pour une alimentation végétalienne est un bon point.
– Son gout est neutre, elle ne modifie donc pas le goût des aliments.
– Elle se conserve extrêmement facilement et ne rancit pas contrairement aux autres huiles.
– Elle résiste aux hautes températures contrairements aux autre huiles végétales.
Actuellement, aucune autre matière végétale ne peut la remplacer sans modifier le résultat.
Crédit image : open food facts