Les végétar*iens qui pratique le végéta*isme le sont à 45% pour des raisons éthiques.
C’est aussi une des raisons qui est la plus moquée.
Le végéta*ien qui dira l’être pour raison de santé sera soutenu, celui qui dira l’être pour l’écologie sera qualifié de rêveur mais celui qui dit l’être par anti-specisme est aussitôt moqué (le cri de la carotte qui souffre…).
L’antispécisme considère que les animaux sont des êtres sensibles et sont donc capables de ressentir la souffrance, le plaisir ou les émotions. Les animaux sont donc nos égaux au sens moral du terme et n’ont donc pas à souffrir de nos pratiques.
Le spécisme est donc une discrimination tout comme le racisme ou le sexisme.
Les conditions actuelles d’élevage intensif sont bien loin de prendre en compte le bien-être de l’animal. Surfaces réduites, surpopulation animale, mauvaise hygiène et nourriture douteuse… 82% des animaux élevés et abattus chaque année en France proviennent d’élevages intensifs. On tue environ 3 millions d’animaux chaque jour (sans compter la pêche).