Il existe beaucoup de très bonnes raisons de devenir végéta*ien.
Elles peuvent être éthiques, écologique, pour sa santé, par goût… Qu’importe la raison, l’important est d’être en accord avec soi-même.
Il faut, malgré tout, avoir quelques connaissances en diététique et nutrition, il n’est pas question de souffrir de carences.
Extrait Wikipédia
Selon le rapport de 2003 de l’Association américaine de diététique et des Diététistes du Canada, un « régime végétalien bien planifié, de même que d’autres régimes végétariens, est adapté à tous les stades de la vie, y compris en cours de grossesse, pendant l’allaitement, la petite enfance, l’enfance et l’adolescence.
Cependant, alors que l’Institut national de prévoyance et d’éducation pour la santé (INPES) affirme dans le livre « La santé vient en mangeant » qu’un régime lacto-ovo-végétarien peut être nutritionnellement équilibré, l’institut n’est pas du même avis concernant le végétalisme. Il écrit en effet que « ce type de régime rend très difficile la satisfaction des besoins en acides aminés indispensables, en fer, en calcium et en certaines vitamines. Le suivi d’un régime végétalien à long terme fait courir des risques pour la santé, notamment pour les enfants.
« Il est impensable de continuer à entasser de la sorte des poules et autres oiseaux dans des cages de batterie ou des hangars industriels. Où est le bien-être des animaux dans tout cela ? Ce sont tout de même des êtres vivants qui ont un visage et un cœur ! Quand je vois une tranche de jambon, c’est le cochon que je vois, un ami. Et c’est pour cette raison que je ne peux pas le manger. C’est aussi simple que cela. » Sir Paul McCartney.