Le première fois que j’ai entendu parler de pico de gallo, c’était au Mexique.
Si je souviens bien, c’était d’ailleurs notre première « taqueria » (petit resto spécialisé, normalement, dans les tacos), un plateau de « salsa » en amuse-bouche était offert.
Le serveur nous explique que chaque plat pique et nous montre du moins fort au plus fort et nous dit de faire attention au dernier. Pas de souci, je ferai attention – mon mari ayant décidé de ne même pas essayer ce dernier.
Je goûte… ouais, bon, ok, ça pique mais y ‘a pas mort d’homme, faut pas exagérer. Sauf…
Sauf qu’il y avait un double effet kiss cool, un truc tellement fort que j’ai dû me retenir de ne pas crier ! Et ça a continué à brûler de loooongues minutes ensuite.
Du coup, mon mari s’est décidé à goûter. Puis s’est foutu de moi parce que, comme pour moi, ça n’a pas chauffé tout de suite… et il a ensuite compris ma réaction !
Bref, j’ai eu envie de reproduire ce petit plat sans pour autant avoir ce côté « bordel, ça arrache ! », j’ai donc très peu dosé le piment.
Je ne sais pas quel piment avait été utilisé, une chose est sûre, je me souviens encore de sa puissance.
L’utilisation de tomates de différentes couleurs n’est pas une obligation mais avouez que ça en jette, non ?
Mon mari m’a d’ailleurs dit que ça rendait ce plat très joli.
2 comments
j’aime pas trop quand ça pique, alors je compatis.
c’est trop joli en revanche!!
j’aime pas trop quand ça pique, alors je compatis.
c’est trop joli en revanche!!